AMEL ou la réponse humanitaire en temps de guerre

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Depuis octobre 2023 et l’intensification des bombardements de l’IDF (Israël Defense Forces) sur le Liban, notamment dans le sud, l’est du pays et de sa capitale Beyrouth, les scénarios prévus ne préparaient pas à la situation actuelle. 1,4 millions de déplacés internes survivent dans des refuges de fortune et/ou à la rue. Il s’agit du AMEL ou la réponse humanitaire en temps de guerre

République Démocratique du Congo

Comment lutter contre l’impunité des crimes commis dans la région du Kivu ? RDC, une terre de sang…

Les frontières françaises

Frontière franco-britannique, franco-italienne, franco-espagnole… Que se passe-t-il à nos frontières ?

Les femmes en exil

Les femmes sont les grandes oubliées des politiques migratoires. Pourtant elles subissent de nombreuses violences…

PALESTINE

La justice est-elle la réponse pour sortir de l’impasse ? Comment la culture est un levier pour faire exister l’identité palestinienne ?

Tunisie – Lampedusa

Dhia et Islem. Ils avaient 16 et 22 ans. Je les ai rencontrés dans un train en direction de Sfax, deuxième plus grande ville de Tunisie…

La route des Balkans face à une Europe forteresse

Cette route est rarement racontée dans son ensemble et pourtant elle concentre toute la politique migratoire européenne…

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Yarmouk, des ruines renaît l’espoir

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« مخيم فلسطين », inscrit en grandes lettres noires, signifie en français « Camp Palestine ». C’est ici, dans la périphérie sud de Damas, que se trouve le camp palestinien de Yarmouk, créé dans les années 1950 par l’Organisation des Nations Unies. Suite à la guerre de 1948 et la création de l’État d’Israël, près de 700.000 Palestiniens1 ont Yarmouk, des ruines renaît l’espoir

Les camps oubliés d’Idlib

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Sarmada, de la guerre au déplacement forcé, le lourd tribut de l’exil. Dès 2011, pour fuir le régime et échapper à la guerre, pas moins de 13,8 millions de Syriens ont été contraints de quitter leur foyer, soit environ 60 % de la population. Parmi eux, 7,4 millions sont aujourd’hui des déplacés internes, faisant de Les camps oubliés d’Idlib